- Un héritier de second rang ou d’un rang plus éloigné, qui devrait se voir reconnaître lui aussi un intérêt légitime à ce que la recherche d’héritier soit effectuée
- Un légataire qui a un intérêt à ce que soient déterminés les héritiers, puisqu’il devra s’adresser à eux pour la reconnaissance et la délivrance de ses droits de légataire
- Un donataire qui pourrait craindre une éventuelle réduction de la donation et aurait ainsi à connaître les héritiers du sang
- Le notaire détenteur du testament du défunt ou le notaire déjà en charge de la succession, par exemple parce qu’il a été saisi par un héritier partiel.
Conformément aux modalités contenues dans l’article 36, alinéa 1er, de la loi du 23 juin 2006, une recherche d’héritier, sans avoir été préalablement mandaté à cette fin, constituerait une faute pouvant être sanctionnée.
REMARQUE : Pour mener à bien ces missions, nous pouvons requérir les services d'autres professionnels, comme les généalogistes. Ils ont pour mission de rechercher l'origine et la filiation des familles. Dans le cadre d'une succession, un généalogiste intervient à la demande du détective, pour identifier ou localiser un héritier.
- Avocats, avoués, juristes, notaires, huissiers...
- Groupes industriels, enseignes nationales, PME, commerçants...
- Banques, organismes de crédit, assurances.
- Collectivités locales, administrations
- Particuliers