- Un réseau de personnes au sein de l’entreprise qui détourne des marchandises (manipulations informatiques, faux documents, manipulation des bons de commande ou des bons de livraison).
- Divers sous traitants ayant accès à l’entreprise victime (entreprises de nettoyage, entreprises de sécurité…).
- L’infiltration d'un enquêteur au sein de votre entreprise (employé comme agent d'entretien, manutentionnaire, etc) permet une surveillance discrète et efficace, et la recherche des divers protagonistes à l'origines de ces malversations.
- La mise en place de caméras miniaturisées* dans les zones sensibles de vos établissements.
- L'enquête après vol, permettant d'incriminer ou deculpabiliser un salarié suspecté
Nos rapports peuvent être utilisés ensuite devant tous les tribunaux et juridictions. Ils sont considérés comme des éléments constitutifs de preuves, en accord avec les articles 200 à 202 du nouveau code de Procédure Civile.
*Pour que cette surveillance vidéo soit légale, il faut que cette restriction à la liberté individuelle soit portée à la connaissance des salariés. Dans le cas contraire, vous êtes susceptible de vous rendre coupable du délit d'atteinte à l'intimité de la vie privée, prévu et réprimé par l'article 226-1 du nouveau Code pénal (Cassation, Chambre Criminelle, 24 janvier 1995).
- Avocats, juristes, notaires, huissiers...
- Groupes industriels, enseignes nationales, PME, commerçants...
- Banques, organismes de crédit, assurances.
- Collectivités locales, administrations
- Particuliers